PPS Danse - Corps Amour Anarchie | Léo Ferré - Alexandre Désilets, Anne Plamondon, Jossua Collin-Dufour © Jean-François Leblanc

Photo : Jean-François LeBlanc

PPS Danse - Corps Amour Anarchie | Léo Ferré - Bïa, Anne Plamondon © Jean-François Leblanc

Photo © JF Leblanc

Photo © Martin Morissette

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Rencontre inédite entre l’œuvre de Ferré et la danse contemporaine.

Créé en  2016 pour marquer le 100e anniversaire de naissance de Léo Ferré, Corps Amour Anarchie / Léo Ferré célèbre l’œuvre de cet immense artiste du 20e siècle, ranime son esprit, ses musiques, ses mots, toujours vibrants de justesse.

Coproduit par PPS Danse et Coup de coeur francophone, le spectacle, conçu et dirigé par Pierre-Paul Savoie, réunit sur scène une dizaine d’artistes de la chanson et de la danse contemporaine. Porté par les voix de Bïa, de Betty Bonifassi et d’Alexandre Désilets, par les chorégraphies d’Hélène Blackburn, d’Emmanuel Jouthe, d’Anne Plamondon, de David Rancourt, d’Alexandre Carlos, de Pierre-Paul Savoie, et par le brio des six danseurs, le répertoire de Léo Ferré résonne plus que jamais.

Accompagnés au piano par Alexis Dumais, les interprètes incarnent l’oeuvre de Ferré avec originalité et puissance, dans un rituel où le poids des mots et des corps retentit bien au-delà de la représentation.

Entre l’amour et l’anarchie, la mémoire et la mer, l’espoir et la solitude, son œuvre déploie les ailes de notre imaginaire pour clamer haut et fort la poésie du monde.

Danseurs : Alexandre Carlos, Marilyne Cyr, Roxane Duchesne-Roy, Sara Harton et David Rancourt  / Substituts : Sébastien Cossette-MasseFrançois Richard et Lila-Mae Talbot

Crédits

« Ce qui frappe, c’est cet esprit de troupe, soudé et surtout au service des chansons. Il y a beaucoup à saluer dans ce spectacle qui convoque solennité, sobriété et essence enivrante. » 

Patrice Demailly, Radio France Internationale

« Un voyage sans escale, la réussite de Pierre-Paul Savoie et de PPS Danse, des mots, des notes, des gestes, unifiés vers une syntaxe unique. »

François André, Les copains d’la neuille, no 36

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